En Russie, un chat errant a sauvé la vie d’un nouveau né, déposé dans un carton sur le pallier d’un immeuble. Dans le froid glacial qui règne dans le pays, le bébé n’avait que peu de chance de survivre.
Une chaîne de la télévision locale de la ville d’Obninsk, en Russie rapporte qu’un bébé de trois mois aurait été retrouvé sain et sauf dans un carton sur le palier d’un immeuble malgré le froid. Ce nouveau né ne doit sa survie qu’à Masha, le chat errant bien connut du quartier.
Le matou aurait trouvé refuge dans le carton auprès de l’enfant lui apportant ainsi la chaleur nécessaire pour éviter l’hypothermie.
Un chat errant devenu le héros du quartier
Ce beau chat connu de tout le quartier est devenu un véritable héros. Sans lui, le bébé n’aurait pas survécu au grand froid qui touche le pays chaque hiver. Personne ne peut affirmer le temps passer dehors mais ce qui est sûr c’est que Masha lui a sauvé la vie.
Installé confortablement près du nourrisson, le chat aurait tenté d’attirer l’attention des habitants par des miaulements. Irina Lavora, une habitante de l’immeuble aurait été alerté par les cris du chat en sortant la poubelle. Habituellement très calme, l’habitante a donc été surprise de ses cris : « J’ai pensé qu’elle s’était peut-être blessée. En temps normal, elle serait venue vers mois pour me dire bonjour. Imaginez le choc quand je l’ai vue couchée dans une boîte à côté d’un bébé ». C’est ainsi qu’elle découvrit l’enfant en compagnie de la mascotte du quartier.
Très attachée à l’enfant, l’instinct maternel a poussé Masha à le protéger. Elle aurait même montré des signes d’inquiétude après que les pompiers aient emmené le bébé.
« Le bébé n’est resté dehors que pendant quelques heures et grâce à Masha, sa santé n’a pas été endommagée par cette expérience » a déclaré un porte-parle de l’hôpital qui a pris soin du bébé. Désormais, Masha est devenu l’héroïne du quartier. Déjà bien chouchoutée par les habitants, aujourd’hui elle est encore plus gâtée qu’avant. Tous les habitants prennent soin d’elle et restent persuadés que sans son aide, le nourrisson n’aurait pu survivre.